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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

mardi, octobre 21, 2025

Ce fut bien forte pluie

 

Bien forte pluie annoncée.. après hésitation je décide de maintenir mon programme antérieur en allant me faire vacciner quitte à demander l'avis de la pharmacienne sur ce qui m'arrive... J'ai profité d'une baisse de puissance de l'averse pour sortir sac d'ordures en main et au moment où j'arrivais à mi chemin des remparts le déluge est arrivé. J'ai continué échangeant sourires politesses et coins à l'abri avec des touristes et suis arrivée trempée... Elle ne pouvait me vacciner dans mon état, elle tâtonnait et dans l'immédiat m'a vendu des petites pilulles contre les nausées et des sachets à prendre à partir de demain pour « débouchage » (pardon) et m'a déconseillé café et thé et prescrit cabillaud ou filets de poulet.


Retour dans un début de lumière... j'ai trouvé chez le petit supermarché de la place des filets de poulet... mais ne suis arrivée à manger lentement et difficilement que quatre bouchées de poulet et quelques coquillettes et depuis j'ai mal à en devenir idiote. On verra demain. J'espère que l'illumination me viendra en dormant.

lundi, octobre 20, 2025

Dimanche à oublier



mauvaise nuit et réveil non moins

pas pu manger

pas pu boire

pas pu penser sauf par éclats

pas pu fumer et n'en avais pas envie

pas pu aller au concert (il pleuvait d'ailleurs mais il y a les salles)

un peu mieux vers le soir

tenter un diner léger

on verra demain

dimanche, octobre 19, 2025

Le rite marché Carnot-Carmes et la couverture

 

Je m'en suis allée matin en belle lumière et température d'automne aimable


J'ai suivi la rue Carnot sous le prétexe de prendre des photos de fleurs, captant en fait un peu n'importe quoi en chemin parce que cela me plaisait


J'ai fait une petite moisson de photos de fleurs et autres sur la place

et suis revenue vers les halles achetant en route des crevettes au Satay et du riz cantonais.


Après quelques photos de fleurs devant les halles, ai ajouté dans mon sac, à l'intéreur, deux cookies au chocolat, une focaccia aux légumes (je l'ai mangée à midi sans guère trouver de légume) et une petite quiche courgettes/chèvre pour demain


et m'en suis revenue dans l'antre.


Je suis ressortie dans l'après midi munie du grand sac rose pour aller chercher la couverture... et la vendeuse s'est écriée qu'il était bien trop petit et m'a sorti un sac en effet un peu plus grand (vais les collectionner)...


Je suis ressortie dans l'après midi munie du grand sac rose pour aller chercher la couverture... et la vendeuse s'est écriée qu'il était bien trop petit et m'a sorti un sac en effet un peu plus grand (vais les collectionner)...


Retour un rien mal commode avec les deux sacs et la canne, en jouissant de ce beau temps et priant intérieurement pour que l'antiquaire ai tort en prévoyant un temps désagréable pour dmanche (j'ai un concert dans l'après midi dans le patio du petit palais)


Je pense que ferai mon lit demain avec cette couverture et je me demande si ne vais pas fondre de chaleur ou me trouver écrasée sous le poids (sourire)... Quand je dis que je donne trop d'importance aux minuscules péripéties de ma vie...

samedi, octobre 18, 2025

Améliorations ennuis et Amore Siciliano à l'Opéra


Sortir un peu avant dix heures de l'immeuble : sans eau se déversant, sans échafaudae... , je me suis retournée pour saluer la porte libre et j'ai levé les yeux pour saluer la corniche et la gouttière réparées



et m'en suis allée, faisant un petit détour pour passer devant Desforges (la jeune femme a jailli pour me demander si j'avaus reçu son message... ma foi non... et si je savais que la couverture était annoncée pour cet après-mid... lui ai dit que je passerai dans l'après midi mais au moment de partir j'ai pensé zut je punis la couverture de son retard en la faisat attendre) et la blanchisserie-teinturerie qui elle ne donne toujours pas sige de vie... J'ai continué vers Monoprix pour les serviettes en papier que j'aime, un béret chiné gris et noir, une paire de ballerines... pas certaine de pouvoir marcher dehors avec on verra... une petite coupe pour mes entrées/salades parce que j'ai cassé l'ancienne et m'en suis revenue tout doux.


Départ le soir vers l'Opéra et son troisième balcon


qui en fait, vu le très rare public (les Avigonnis ont un côté idiot à mon avis en ce qui concerne la musique) et sans que je prenne l'initiative, par la grace et avec les bons soins et recommandations au placeur de mon vieil ami le chef de salle ou quelque chose de ce genre, s'est transformé en deuxième rang (je ne voulais pas exagérer) du premier balcon, pour un petit concert/spectacle dans le cadre de la semaine italienne « Amore Siciliano » par Leonardo Garcia-Alarcon et la Cappella Mediterranea ainsi présenté sur le programme en ligne

je recopie des passages de la petite feuille/programme de salle

« Amore siciliano » est conçu comme un mini-opéra (je dirai plutôt cpomme le brouillon animé d'in opéra sans décor, sans vraie action à part trois positions debout face public, plus rarement à genoux, plus rareent encore assis au sol des interprêtes, quelques déplacemets et écjanges de regard et malgré tout cela vit) à partir de la « Canzone di Cecilia », une mélodie poplaire calabraise qui irrigue tout le drame. Madrigaux et cantates de grands compositeurs comme Sigismondo d'India, Alessandro Scarlatti ou Cataldo Amodei s'entrelacent avec des musiques d'origine populaire, transmises depuis des siècles par tradition orale et une infinité de pièces de compositeurs siciliens inconnus.... Donner vie à cette musique permet à Capella Méditerranea d'établir un lien direct entre poése et musique baroque ancienne, lien qui perdure aujourd'hui encore sur ces terres, avec le chant d'une Ninna-Nanna, une tarantella, un lamento ou une chanson d'amour. Une immersion intemporelle et élégante au cœur de la musique ancienne. »

Résumé très approximatif, tout part de Cecilia (Ana Veira Lete soprano à la voix charnue , sans aigue, douce, profonde) une jeune fille triste parce que son amoureux Giuseppe (rôle qui intervient peu Matteo Bellotto belle basse pas trop profonde) est en prison. Intervienne deux amis (nobles espagnoles, ils gouvernaient la Sicile à l'époque) Santino (Léo Fernique contre-ténor que j'ai beaucoup aimé) et Don Lidio (Valerio Contaldo tenor.. presque baryton plein de fougue et de violence) lequel promet de l'aide à Cecilia si elle accepte de l'aie-ler (schéma classique). Il y a aussi le témoin, la pas résignée presque juge Donna Isabella (Lucia Martin Carton (in très joli, souple tendre soprano) -- et la promese d'élégance du texte était réalisée, la beauté avec.


En bis une cantate du café de Bach (je ne savais pas qu'il en avait écrit plusieurs, je pense à une plaisanrerie, agréable)

En PS une courte video d'une récente ou presque interprétation d'un passage de ce presque opéra



vendredi, octobre 17, 2025

Travaux dans l'immeuble, exposition, ennuis photos

 


Mon propriétaire a débarqué pendant que je déjeunais pour me dire que je devrai faire attention en sortant, qu'il y avait un échafaudage (ai pensé bon je dois pouvoir passer... en fait il faut faire attention à ne pas prendre d'eau sur la tête), que des travaux allaient être fait dans l'appartemlent du dessus et a commencé à regarder ce qu'il pouvait faire chez moi.. finalement nous avons conclu qu'il y avait beaucoup à faire (une bonne part aurait dû l'être avant mon arrivée) mais qu'il serait plus facile de le faire après mon départ. J'espère seulement que je ne vais pas voir des gens débarquer dans l'antre n'importe quand. Après un petit tour sur internet m'en suis allée, bien trop couverte une fois de plus (cette sacrée clim naturelle de l'antre !)



vers l'église des Célestins où se tient pour clore le cycle intitulé Curiosités « collection(s) de curiosité – le musée Requien sort de ses murs » Pour accompagner les trop nombreuses photos rescapées après que j'en ai jeté plus de la moitié (pas uniquement parce qu'il m'a fallu plus de trois heures pour les ouvrir, modifier, jeter ou enregistrer, re-enregistrer parce que c'était si lent que je pensais m'y être mal prise etc... mais aussi parce que les grillages brouillaient plus que ne l'avais cru ou parce que j'avais failli me casser la figure ou parce que la masse était trop serrée, les tailles trop différentes ou parce que les herbiers étaient sous des grillages et les énormes reliures de feuillets difficiles à capter) pour accompagner donc les différentes photos je pique des parties du texte de la présentation sur le site par Joseph Jacquin-Porreyaz, Conservateur du Patrimoine scientifique, technique et naturel

« Dans les sciences naturelles, les cabinets de curiosités ont été la base de la pensée de classification, notamment au XVIIIe siècle : à partir des spécimens, on cherche à rapprocher « qui est plus proche de qui ».

A la suite du don de ses collections par Esprit Requien, en 1840, le musée d’histoire naturelle qui porte son nom depuis 1851, poursuit ce travail d’échantillonnage de tous les domaines d’histoire naturelle, pour les scientifiques comme pour le public... Les roches et les minéraux, les coquillages, les insectes, les crustacés, les mammifères, les reptiles et les oiseaux, les plantes à fleurs, les lichens et les mousses, les appareils de mesure et tous les autres domaines sont représentés. On les retrouve, dans les collections, sous de multiples formes : des œufs ou des nids, des cornes ou des bois, des squelettes, des planches d’herbier, des spécimens naturalisés, des objets, des pièges, des graines… Sur ces 1,2 million de spécimens estimés, une majorité appartiennent à des espèces protégées et quelques-uns à des espèces disparues.

Dans la continuité du XXe siècle, au cours duquel a émergé la prise de conscience du caractère fini de la biodiversité, dans laquelle on ne peut pas puiser sans limite, le XXIe siècle est celui d’une course contre la montre, en biologie : les scientifiques se rendent compte qu’on connaît bien moins les espèces de la planète que ce qu’on croyait. Il reste beaucoup à découvrir, tandis que les disparitions d’espèces s’accélèrent, sous l’influence directe ou indirecte de l’être humain.

L’exposition réunit ce double discours : montrer beaucoup, montrer la diversité, montrer cet échantillon du monde qui est entreposé à Avignon et habituellement peu visible. Et aussi, présenter des pôles thématiques et des lignes de lecture, qui permettent d’entrevoir que faire preuve de curiosité(s) à l’égard de la Nature, c’est entrer dans un monde fabuleux, presque infini et à portée de main de toutes et tous, dont on ne se lasse jamais. »


photo conservée comme exemple de mes loupés